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Notre manière de consommer et d’envisager nos activités de loisirs a évolué, depuis 2020, pour les raisons que l’on connaît : évolution climatique, crise Covid-19, nouvelles attentes. Le tourisme vert, doux, s’est ainsi consolidé et l’Isère joue pleinement son rôle en tant que territoire en pointe sur le sujet.
Notre manière de consommer et d’envisager nos activités de loisirs a évolué, depuis 2020, pour les raisons que l’on connaît : évolution climatique, crise Covid-19, nouvelles attentes....
Le tourisme vert, doux, s’est ainsi consolidé et l’Isère joue pleinement son rôle en tant que territoire de pointe sur le sujet.
Entre montagnes, massifs, lacs, forêts, les atouts de notre territoire sont considérables et porteurs d’un grand potentiel d’attraction.
Dans ce contexte, l’Isère fait la part belle à l’itinérance douce pour prendre le temps et s’émerveiller doucement, à pied, à vélo, à cheval. Cet été encore, cette itinérance, pratiquée en couple, famille ou amis, joue un rôle de plus en plus important dans l’approche touristique de nos territoires avec des retombées importantes en termes de prestations, hébergement, restauration, consommation de produits locaux.
L’engouement pour notre destination encourage les acteurs locaux à se réinventer et à valoriser leur territoire tout en le respectant.
Cette double approche est la clé du succès pour le développement d’un tourisme local, durable, ancré.
Dans cette Tribune, au terme de cette saison estivale, nous donnons la parole à celles et ceux qui font cette itinérance au quotidien et qui lui permettent d’exister pour la plus grande satisfaction de nos clientèles.
Leur précieux témoignage a été recueilli par la journaliste Sandy Plas.
